Après les grands patrons japonais qui invitent leurs employés à partir plus tôt du travail pour plus faire l’amour et ainsi accroître la population japonaise, les britanniques ont eux aussi trouvé un intérêt à ce que les couples fassent plus l’amour.En effet, selon une étude très sérieuse, faire plus l’amour serait une solution pour lutter contre la crise économique.
Ainsi, les couples qui n’ont pas les moyens de partir en voyage, ou de s’offrir de petits cadeaux, auraient là un moyen de s’occuper tout en protégeant leur pouvoir d’achat. Car faire l’amour prend du temps, donne du plaisir et en plus est gratuit !
L’étude réalisée montre que depuis le début de la crise, 37% des 2000 britanniques interrogés, avouent faire l’amour plus souvent plutôt que de sortir et de dépenser des sous. Faire l’amour est en passe de devenir le loisir favori des britanniques !
Pas de panique pour le gouvernement, il ne devrait pas y avoir de Baby Boom d’ici neuf mois puisque parallèlement, la vente de préservatifs connaît une hausse considérable.L’étude compare également le prix d’une relation sexuelle (gratuite) avec protection à une sortie au restaurant, à un spectacle ou encore à un mois de cours de gym. Et les résultats sont sans appel comme le souligne Lisa Power, une des responsables de l’organisation de lutte contre le sida qui a commandé cette étude : « un paquet (de préservatifs) coûte une fraction du prix d'une sortie au restaurant ou au spectacle. » Et les experts précisent encore pour favoriser cette activité « que l'exercice est une manière de maintenir le flux des hormones du bonheur ».
Après faire l’amour qui se place en première position, les activités plébiscitées sont, bavarder entre amis (18%), se promener en ville et regarder les vitrines (9%), aller au musée (6%).
Une astuce que l’on va s’empresser de mettre en pratique…
Docteur Diagnostic.
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